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| Quequ'un voudrai-t-il d'un (faux-vrais) médecin ???[Libre] | |
| | Auteur | Message |
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James Norrington Ex-Amiral • Et le ver te rongera comme le remord
Nombre de messages : 23 Age : 33 Localisation : Une Île. Age RPG : vingt-spet ans. Statut : Un ancien mort. Humeur : veux faire du rp Citation : Les fleures du mal Date d'inscription : 25/04/2008
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| Sujet: Quequ'un voudrai-t-il d'un (faux-vrais) médecin ???[Libre] Mar 10 Juin - 20:08 | |
| Un homme aux cheveux mi-long, ayant une barbe de quelques jours mal rasé, les yeux vitreux et la mine maussade ramassait quelques maigres affaires. Celles-ci étaient composés : d'une paires de botte, il marchait pied nus à cet instant là, d'un fidèle carnet de bord remplis avec grand soins depuis de longues années, d'une bouteille d'encre noire et d'une plume avec des embouts changeant, pour finir il portait également dans sa main gauche un pistolet à deux coups qu'il rangea soigneusement dans son "fourreau" accrochait à sa ceinture. L'homme jeta un dernier coup d’œil à l'endroit qui l'avait accueil pendant près d'une demi-semaine. Puis il se retourna et attrapa une sacoche en toile qu'il avait tant bien que mal réussi à construire. Ses habits de Commodore ne lui servirait plus à rien maintenant, mais il avait pris le partie de les gardé dans son sac au cas où aurait à s'en resservir. Lentement il prit le chemin de la plage. James, car ce n'était nul autre que l'ex-Amiral de l'armada de La Compagnie des Indes, était mort. Mais comme deux personnes avant lui, il avait était ramenait à la vie. Mais par pour les mêmes raisons. Ces deux prédécesseurs étaient des Pirates et s'était pour sauver cette branche de "l'humanité" qu'ils avaient était ramenait sur Terre. Pour l'homme Anglais s'était autre chose, quelques chose de peut être plus profond à son sens... Ses pas l'avait mené près d'une embarcation de fortune qu'il s'apprêtait à utilisé le soir même pour trouvait une aide plus fructueuse en mer. Oui, il avait était ramenait, mais pas vraiment dans le meilleure des endroits qu'on pouvait imaginé. Loin de tout, ou presque si on compte la mer, cette île était un véritable fléau. La Confrérie à laquelle il appartenait l'avait laissait là et il était donc obligeait de faire avec. Des tentions augmentait ses temps-ci et il avait était mis au courant que, parmi un équipage, des hommes voulait s'emparer de leurs sources d'aqua vitae. Bref, pour faire simple James s'était donnait jusqu'à ce soir pour attendre qu'un bateau approche du rivage. Il y avait trois jour de cela, Mr Norrington, avait allumait un feu et s'était arrangeait pour qu'il y ait une grande fumé blanche qui s'en échappe. Pour le moment un bateau arrivait tout petit à l'horizon, mais James ne se faisait guère d'illusion. Même si un léger espoir grandissait au fond de lui. Car en vérité l'île possédait une réserve naturel d'eau douce, d'eau potable, et en assez grande quantités pour servir plusieurs centaines de bateau pendant des décennies...
Dernière édition par James Norrington le Sam 21 Juin - 19:09, édité 1 fois | |
| | | Ivanovitch Tchekhovski •Le Sourire du Vampire est Pareil à celui du Bourreau•
Nombre de messages : 88 Age : 32 Localisation : Sur le Gothica, non loin d'un bon verre de...Sang frais! (Ou de Vodka *w*) Age RPG : 112 Ans, oui oui! Et pas un seul cheveu blanc! Statut : Capitaine du Gothica Humeur : La Chasse est ouvertes! Âmes sensibles, cachez-vous... Citation : « La Compagnie des Indes prend le monde pour un échiquier...Alors je prends leurs demeure pour mon terrain de chasse! » Date d'inscription : 31/05/2008
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| Sujet: Re: Quequ'un voudrai-t-il d'un (faux-vrais) médecin ???[Libre] Dim 15 Juin - 23:35 | |
| - Spoiler:
Voilà mister, comme promis ;p
Accalmie profonde sur le Gothica… Le capitaine et la moitié de l’équipage dormaient. Leur race leur interdisait de sortir au soleil : il leur fallait dormir le jour…et chasser la nuit. La loi de la nature est ainsi faite, les non-morts ne peuvent se montrer parmi les vivants. Moitié vampire, moitié humain, l’équipage du Gothica se séparait constamment : les vampires dominaient le bâtiment une fois le soleil couché, et les humains devaient se débrouiller sans capitaine une fois l’astre au zénith. Ainsi une bande de fiers flibustiers dirigeaient le Gothica sur les mers, à la recherche d’une île quelconque où ils pourraient s’arrêter dans le but de procéder à quelques réparations le temps de mon sommeil.
-Hé ! S’écria l’un des marins. Regardez ça !
Il désigna une montée de fumée blanche provenant d’une petite île lointaine. Was ist das? Melian, ma seconde, s’empara d’une longue vue et examina le panache plus attentivement : sans doute un naufragé. Peut être l’un des membres de l’équipage ? On en avait perdu un il y a peu, avec un peu de chance il vivait en Robinson sur cette île.
-Allons du côté de cette île. Ordonna Melian. Non seulement on pourra sans doute trouver de quoi renflouer les calles du navire, mais en plus on a une petite chance de venir en aide à l’un des nôtres tout en réparant la casse du Gothica… -Et si le naufragé n’est pas l’un des nôtres ? -Le capitaine n’est pas du genre à laisser quelqu’un dans le besoin…On le prendra quand même, sauf s’il s’agit d’un de ces enfoirés de la Compagnie des Indes ! -On met le cap sur cette île alors ?
Elle approuva d’un hochement de tête. Le navire vira de bord en direction de l’ilot et l’approcha lentement. Bientôt son immense proue vint s’enfoncer dans le sable, la sculpture décorative à l’avant sembla s’animer tant la force du bâtiment venait de la secouer. Les voiles se plièrent, des cordages se tendirent, et des membres d’équipage mirent le pied à terre. Melian jeta un œil rapide autour d’elle et distribua les ordres aux autres marins.
-Trouvez de l’eau, éventuellement de la nourriture et des matériaux pour réparer le bateau. La nuit approche, prévenez-moi si le capitaine se réveille ! -A vos ordres mam’selle !
En effet le soleil commençait déjà à finir un tour de sa course perpétuelle. Lors de leur exploration, mes marins tombèrent sur un type dans un état vestimentaire plutôt piteux. Cachés au milieu des palmiers d’une petite forêt, ils l’observèrent un instant, l’air ahuri : serais-ce notre Robinson ? Aucun doute. L’un des pirates se décida à sortir de sa planque en hélant le naufragé :
-Hé toi ! La fumée blanche, c’est ton œuvre ?
Les autres matelots sortirent à leur tour. Un inconnu quelconque les assimilerait immédiatement à des pirates, et un inconnu quelconque avec un minimum de culture saurait à quel navire ils appartenaient. Tous vêtus de noir, des anneaux aux oreilles et parfois à l’une des arcades, des symboles étranges tatoués sur la peau…Bref, de vrais marins du Gothica ! L’homme sortit en premier en intimiderait plus d’uns : forte carrure, le côté gauche du visage parcouru d’un tatouage dont on ignore le point de naissance, et dont les motifs se terminent sur le haut d’un crâne rasé couvert d’un bandana noir. Ou plutôt : un bandana tout à fait semblable au pavillon du Gothica dans la mesure où il avait pour seul motif une chauve souris blanche. Si on prenait le temps de passer en revue ses vêtements, on tomberait face à un large pantalon de toile noire déchiré aux extrémités des pans, à une chemise blanche quelque peu encrassée et à un grand ceinturon garni d’armes en tout genres.
-Tu devrais arrêter de fréquenter Visigoth, constata un jeune mousse, tu deviens aussi direct que lui !
Visigoth ? L’un des vampires endormi à cet instant : une brute parmi tant d’autres…Il se vantait d’avoir brisé le crâne de bien des soldats de la Compagnie des Indes, et ce sans armes. A en voir sa carrure imposante, personne n’oserait en douter. Sur le Gothica, on le connaissait surtout pour son franc parlé et ses directives très…directes.
-Fiche-moi la paix le mousse! Répondit le premier interlocuteur du naufragé avant de reporter son attention sur ce dernier. Alors, tu me réponds ? Je ne vais pas te manger… -Ouais, c’est plutôt nos collègues endormis q…Il se prit un coup de coude d’un troisième matelot. Ben quoi ? -Chut! Lui murmura ce même troisième. Tu sais parfaitement que le capitaine n'aime pas les bavards! -Taisez-vous un peu tous les deux, j'aimerais entendre notre naufragé!
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| | | James Norrington Ex-Amiral • Et le ver te rongera comme le remord
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| Sujet: Re: Quequ'un voudrai-t-il d'un (faux-vrais) médecin ???[Libre] Lun 16 Juin - 16:32 | |
| James vit au loin un navire. Il vit le navire virer de bord à son grand soulagement et faire voile vers l’île où il avait était déposé après sa… résurrection. La fin de journée avançait à grand pas, lorsque le bateau accosta la nuit était prête à se levait. Il vit des matelots descendre du bâtiment et en entendit d’autres marchait vers la forêt de palmier où il se trouvait. Il scruta quelque temps l’horizon faisant comme s’il ne les avait pas entendu arriver. Une poignet de seconde plus tard un homme surgi des fourrés. Il n’avait pas l’air très commode. Il portait un bandana noire ayant pour motif une chauve-sourie. Ce dernier s’adressa à James lui demandant si c’était lui qui avait donner « vie » au feu brûlant d’une fumé blanche. M. Norrington prit le temps de regardait les autre matelots qui faisait voile avec lui. Après le très cour instant de réflexion, qu’il s’accorda il fut sûr d’une chose. Des Pirates, encore des pirates, mais cela n’était pas n’importe lesquels, puisqu’il s’agissait des marins du Gothica. Un étrange bateau volant aux riches pour donner au pauvres. Il y a quelques mois l’ex-Amiral aurait très bien put être la cible de Capitaine, puisque alors il réunissait deux tares. La première d’entre elles étaient le faîtes d’être riche, et la seconde de faire parti de La Compagnie des Indes, grâce à laquelle il avait trouvait la mort au détour d’un baisait… James fut ramenait à la réalité, lorsqu’un autre interlocuteur prit la parole. S’en suivie une discussion de courte duré entre plusieurs mousse. Le premier pirate sorti de l’ombre eut l’aire d’en avoir plus qu’assez de leur petit dispute et les calma d’un ton qui n’admettait aucune répliques. C’est alors que James prit la parole.« C’est bien moi qui avait allumé se feu ! Cela vous dérange-t-il ? » Il parla avec calme, utilisant le ton dont il avait l’habitude en de tels circonstance, mais cette foie il y avait dans sa voie une toute petite pointe d’ironie. Ne pouvant pas mourir jusqu’a ce qu’il est menait sa mission à bien il ne craignait pas de se faire embroché le cœur ou autre organe sensoriels. James regarda un peu mieux ses interlocuteurs et se souvenant que nombres étaient les histoires qui courraient au sujet du Gothica et de ses "habitants". Il descida donc de prendre le parti d'attendre et de voir comment allait évoluer les évenements. | |
| | | Ivanovitch Tchekhovski •Le Sourire du Vampire est Pareil à celui du Bourreau•
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| Sujet: Re: Quequ'un voudrai-t-il d'un (faux-vrais) médecin ???[Libre] Lun 16 Juin - 23:31 | |
| « C’est bien moi qui ait allumé ce feu ! Cela vous dérange-t-il ? » Le matelot se sentit offensé. Le ton de ce naufragé ne lui plaisait guère, cela dit il ne laissa rien paraître et demeura d’un calme olympien. Ses comparses dévisageaient l’inconnu comme s’ils venaient de rencontrer le nouveau messie. On ne peut le nier, ils rencontraient peu de monde, et leur champ d’action se limitait souvent au cocon du Gothica. A force de fréquenter des vampires, l’humain s’oublie lui-même ; ainsi remarque-t-on la prodigieuse intelligence de ces piètres descendants du singe.
-Nan ça ne me dérange pas. Rétorqua enfin le matelot au nom d’Aleksandr, russe de naissance et de caractère ! Mais si tu tiens à te tirer de cette île, je te conseille vivement de nous suivre…Sur ces mots, il tourna les talons et pris le chemin inverse en direction du navire. -T’as du bol,murmura l’un des mousses au naufragé, on doit avoir le Capitaine le plus sympathique de toutes les mers…Les autres pirates t’auraient égorgé et dépouillé avant de jeter ton cadavre à la mer ! Aller, reste pas planté là, suis-nous…
Les matelots menèrent l’inconnu au Gothica. Tout le personnel humain s’agitait autour de ce fier navire : ils lui retouchaient la coque, rafistolaient les voiles, redonnaient ses formes à la sculpture de proue, nettoyaient l’ancre…Bref, le grand nettoyage avant de nouveaux kilomètres en mer. Les marins au travail jetèrent un regard rapide en direction du naufragé ; des murmures à son sujet s’échangèrent, et bientôt il se trouva en face de ma seconde : Melian.
-On a trouvé le naufragé mam’selle ! Indiqua Aleksandr avec une perspicacité hors du commun. Il traînait sur la plage là-bas ! -Bien…Répondit simplement Melian. Le Capitaine ne va pas tarder à se réveiller, il nous dira quoi faire…
Elle fit signe au naufragé de la suivre et le mena sur le pont du Gothica où elle lui demanda d’attendre mon arrivée. Le soleil acheva enfin sa course ; la pénombre tomba, des lanternes s’allumèrent. Dans ma cabine, des griffes sortirent de sous le couvercle d’un somptueux cercueil et le poussèrent jusqu’à me libérer. J’ouvris les yeux, leur pupille féline et brillante aux aguets du moindre bruit ; mes oreilles vibrèrent à l’entente des claquements de pas sur le pont de mon bateau et des derniers coups de marteau sur sa coque ; tous mes sens s’éveillaient, même mes lèvres tremblèrent à la simple idée d’être imbibée d’un sang fraichement chassé.
Un couinement retentit dans la pièce sombre. Une petite chauve-souris se décrocha du plafond, passa entre une dizaine de chandeliers, survola des livres et des cartes puis vint se percher sur mon épaule. Je me levai, grognai quelque peu et sortis de ma cabine avec une seule idée en tête : chasser. Les autres vampires suivirent instinctivement le mouvement : des cercueils s’ouvrirent partout dans les calles du navire, des créatures toutes plus assoiffées les unes que les autres en sortirent. Un criaillement strident retentit, des sourires se dessinèrent sur les visages des marins humains :
-Le Capitaine est réveillé…Annonça Melian.
La porte menant aux cabines s’ouvrit ; des pas raisonnèrent sur le pont, le silence tomba. Je me montrai enfin, accompagné d’une dizaine de mes semblables. Il me suffit d’humer l’air pour conclure :
-Il y a un inconnu sur mon navire.
Je m’avançai d’un pas feutré et découvris à mon tour le naufragé. Les autres vampires crissaient déjà à l’idée de pouvoir le mordre ; je leur interdit tout mouvement d’un simple mouvement de la main.
-Non ! On ne touche pas aux inconnus, vous le savez tous. Il y a des petits soldats de la Compagnie des Indes dans la calle, allez jeter votre dévolu sur eux ! -Mais…Capitaine… ! -Il n’y a pas de mais ! Vous obéissez aux ordres !
Ce dernier mot fut souligné à l’aide d’un ton grave suivit d’un cri aigu. Le vampire me regarda un instant dans les yeux et se retira en compagnie des autres : direction la calle…Sans doute se battraient-ils la chair et le sang de ces pauvres soldats, mais au moins ils laisseraient ce naufragé tranquille.
-Vous êtes bien silencieux. Dis-je en m’approchant de l’inconnu. Seriez-vous…Effrayé ?
Je lui tournai autour, profitant de l’odeur alléchante de son sang. Je n’allais pas le mordre, à moins d’avoir une bonne raison ou une poussée instinctive incontrôlable. Cet homme m’intriguait…J’étais sûr, sûr et certain de l’avoir déjà vu…Seulement la question à ce sujet ce résumait à un seul mot : où.
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| | | James Norrington Ex-Amiral • Et le ver te rongera comme le remord
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| Sujet: Re: Quequ'un voudrai-t-il d'un (faux-vrais) médecin ???[Libre] Mar 17 Juin - 21:43 | |
| James prit conscience qu’il n’avait pas forcément utilisé le bon ton, mais que voulez-vous… Par moment son ancienne situation de meneur d’homme reprenait le dessus et lui faisait prendre des ton ou des airs qu’ils n’auraient jamais pensé prendre à un moment de sa première vie… Le naufragé, puisqu’il semble devoir être appelé ainsi, ne s’excusa pas pour autant du ton qu’il avait employé ou de son attitude. Le pirates tourna alors les talons et alla parlait à la seconde du Capitaine. Un matelot quel conque s’adressa alors à lui.
-T’as du bol, murmura l’un des mousses au naufragé, on doit avoir le Capitaine le plus sympathique de toutes les mers…Les autres pirates t’auraient égorgé et dépouillé avant de jeter ton cadavre à la mer ! Aller, reste pas planté là, suis-nous…
James haussa les sourcils et regarda son interlocuteur de plus près en s’avançant vers lui, il reprit la parole d’un ton qui montrait bien son côté ironique dont-il n’arrivait décidément pas à ce séparer.
- Vraiment ? !
Les pirates le regardèrent un moment l’aire surprit puis tournèrent à leur tours les talons et regagnèrent, par groupe, le navire. Non contant d’être un peu seul avant, il le craignait, les interrogatoires du Capitaine, du Second et plus tard de quelques matelots. Il fit quelques pas en arrière pour attrapé son sac. Il en sorti son carnet qu’il plaça entre sa chemise et son torse. Puis, lentement, il avança lui aussi vers la plage et par extension, vers le bâtiment au voile noir. Cela lui rappela vaguement le Pearl bien que les deux bateaux n’est strictement rien à voir. Certains matelots attendirent et « escortèrent » James jusqu’au bateau au cas où il se perd... Norrington, fier chasseur de pirates regardait d’un œil amuser les sus-ci nommés pirates s’affairaient sur le pont du navire. Lorsqu’il entendit la seconde indiquait aux matelots que le Capitaine se réveillait James haussa un sourcil, quel homme dort le jour et vit la nuit ? Un vampire, un autre créature des ténèbres sens doute. Les histoires de fantôme et autre spectre ne le faisait plus réagir comme il l’aurait fait il y a quelques mois encore. Aussi il ne se doutait pas que son premier soupçon soit véridique. Le second, qui se trouvait, en faite, être une femme, lui demanda d’attendre la venue du Capitaine de se bateau. James acquiesça, mais un foie planté en plein milieux du pont il ne bougea plus et scruta, avec une admiration mesurait, ce navire. Il se demanda tout bêtement qui aurait put construire un bateau d’un telle prestance qu’on aurait crus qu’il est une âme…Lorsque le soleil fut couché à l’horizon, de nouveaux bruits vinrent emplire le vaisseau. Un couinement d’abord puis plusieurs autres suivirent. L’embarcation parue changé quelque peu de teinte, et quelques secondes plus tard le Capitaine, et plusieurs autres matelots apparurent. La première phrase que James entendit sortir de la bouche du chef fut :
« Il y a un inconnus sur mon navire »
Vraiment ne put s’empêchait de pensait James, quel perspicacité ! Néanmoins, ses yeux s’attardèrent sur ses canines plus longue que la normal, des yeux rouge et noir, sans pupille. Pour continuait ses lèvres étaient très fine et sa peau s’étirait sur ses os… Encore un fait d’étrangeté, pensa de nouveau Norrington. Il donna un ordre pour le moins sanguinaire à ses semblables et s’approcha de l’ancien Amiral pour lui parler un cour instant, puis il lui tourna le dos, entendant certainement une réponse au questions qu’ils n’avait pas pausé. James attendit là encore un cour instant. La appréhension qu’il avait eut en premier lieu s’était maintenant dissoute. Les Vampires meurent s’il boivent le sang d’un mort. Un sourire éclaira son visage un cour instant. Et conscient d’avoir trop attendu pour donner réplique, il prit la parole.
- Si j’ais été effaré un court instant je ne le suis plus aucunement à présent, Capitaine ! répliqua-t-il, pourquoi devrais-je l’être à près tous ?
Avant de dire quoi que se soit sur sa présence sur cette île, il voulait, dans un premier temps, jaugé la situation, et dans un deuxième temps avoir le temps de peaufinait l’histoire qu’il avait inventait la veille. | |
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| Sujet: Re: Quequ'un voudrai-t-il d'un (faux-vrais) médecin ???[Libre] Mer 18 Juin - 12:07 | |
| - Spoiler:
Tu m'excuseras s'il y a des bugs dans le message, mais comme je ne suis pas sur mon ordi, j'ai quelques difficultés à matter la bête >< S'il y a des erreurs de mise en page ou autre, je corrigerais plus tard ^-^
Mon regard mystérieux ne quittait plus cet homme, l’impression de le connaître titillait ma curiosité maladive. Ses vêtements ne m’indiqueraient rien à son sujet, cependant son visage dessinait dans mon esprit une silhouette accaparée d’un point d’interrogation bien énervant. Le voile d’ombre de cet inconnu finirait bien par tomber, et à ce moment je saurais sa véritable identité. Son nom m’inspirerait sans doute plus, je n’oublierais pas de lui demander. Cela dit, son ton ancré dans l’arrogance la plus exaspérante le trahissait déjà : seuls les riches s’expriment ainsi. « Si j’ai été effaré un court instant, je ne le suis plus aucunement à présent, Capitaine ! Pourquoi devrais-je l’être après tout ? » Un grand sourire illumina mon visage. Du cran : il n’en manquait pas. De l’arrogance : son caractère se basait dessus. Du franc-parler : le premier à en douter pouvait se classer parmi les fous. Mon sourire traduisait cette pensée rapide, en plus d’une certaine réplique au jeu d’impertinence du naufragé. Il voulait jouer ? On allait s’amuser dans ce cas. Personne ne me bat sur mon propre terrain : l’arrogance et l’impertinence mêlées à la réflexion, la stratégie et la manipulation. Mes pas usaient le pont selon un mouvement circulaire centré sur l’inconnu. Je m’arrêtai dans son dos, approchai mes lèvres de son oreille et lui murmurai :
-Vous devez bien être le seul à ne pas me craindre…Seriez-vous…Immunisé contre les vampires ?
L’odeur de son sang traversait sa chair, ainsi pouvais-je le sentir sans le répandre partout. Mon sourire s’agrandit, allez savoir en quel honneur ; mes crocs se reculèrent, repoussés comme s’ils eurent été en présence d’un crucifix. En comparaison au problème face à moi, la force de répulsion de ce type d’objet représentait une infime aguille au beau milieu d’une botte de foin. Autrement dit : un crucifix ne valait pas le sang de mort…Car il s’agissait bien de cela. D’ailleurs je ne me privai pas de conclure à voix haute.
-Du sang mort. Quelle…Surprise.
Eh oui, il en faut plus pour m’étonner. Je me contentai de donner une tape amicale sur l’épaule du naufragé avant de m’éloigner de lui à pas lents. À ce moment, deux de mes vampires remontèrent de la calle en traînant par les chevilles un pauvre petit soldat de la Compagnie des Indes. Il hurlait, suppliait, pleurait, tout cela si vainement…Les vampires se fichent éperdument des petites histoires humaines : s’ils ont une femme, des enfants, des oncles ou des tantes, tout cela n’est pas leur problème. L’important résulte de l’indispensabilité de leur race dans la mesure où nous ne pouvons pas vivre sans eux…Le petit soldat allait le comprendre, car il se retrouva face à moi.
Dans la calle, il eut probablement un avant-goût terrifiant de son sort. Mes vampires ne font pas dans le détail : parfois les proies subissent des morts atroces. Les deux spécimens venus m’apporter mon repas semblaient s’êtres bien amusés : les lèvres dégoulinantes de sang, les vêtements tâchés et la mine vicieuse, ils inspiraient la plus grande des confiances…Surtout quand on connaît leur habitude de se batailler entre eux pour une proie quelconque.
-Tenez cap’tain ! S’écria l’un des deux en ricanant comme une hyène. De la barbaque rien que pour vous ! -Oh…Merci…Répliquai-je en dévisageant le soldat à mes pieds. C’est trop gentil… -Pitié ! S’insurgea le soldat. J’ai une femme et des enfants ! Je vous en supplie…Ne me tuez pas…
Il se mit à pleurer. Je le regardai de haut et finis par me baisser de manière à me trouver à sa hauteur ; mon sourire ne se décrochait pas, au contraire, il s’agrandissait et fendait mon visage d’ange :
-Les animaux que tu mange ont aussi des petits, et les petits ont des mères…Lui murmurai-je. Moi, j’ai faim…Et toi, tu es ma proie…Désolé mon mignon, mais tu ne peux t’en prendre qu’à toi même…En t’engageant à la Compagnie des Indes, tu as signé ton arrêt de mort.
Sur ces mots accentués d’un ricanement, je lui enfonçai violemment mes canines dans le cou. Le soldat cria, puis gémit, et enfin se tu. Ses yeux se fermèrent lentement, et lorsque son sang commença à prendre le goût de la mort, je le lâchai. Une fine gouttelette écarlate dégoulina le long de mon menton, je m’empressai de l’essuyer du bout de l’index tout en demandant au naufragé :
-Au fait, quel est votre nom ? Et comment se fait-il que vous aussi, vous soyez un non mort ?
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